Dans leur étude intitulée Du bon sauvage au beau sauvage, Un roman d’amour politically correct[1], Julia Bettinotti et Chantal Savoie sont arrivées à la conclusion que ce qu’on appelle aux États-Unis l’Indian Romance «suit une des conventions ou un des contrats de lecture les plus stricts de la littérature de grande consommation. »
A blog post by Mylène Gilbert-Dumas states that: